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 Réponse aux allégations que Le Coran porte sa propre contradiction l

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AuteurMessage
Saladin
Membre
Saladin


Religion : Islam
Sexe : Masculin Messages : 31

Réponse aux allégations que Le Coran porte sa propre contradiction l Empty
MessageSujet: Réponse aux allégations que Le Coran porte sa propre contradiction l   Réponse aux allégations que Le Coran porte sa propre contradiction l EmptyMar 22 Déc - 14:35

Ce commentaire aspire de faire la lumière sur les abracadabrantesques et lugubres enseignements d’un nouveau Messie, charlatan de vocation en quête de popularité et de reconnaissance

Le Coran est Livre de Dieu dans la mesure aussi, d'autre part, où le texte coranique est également écrit, auprès de Dieu, dans le Livre originel ("umm ul-kitâb") :
"Par le Livre clair ! Nous en avons fait un Coran arabe, afin que vous raisonniez. Et il est [transcrit] dans le Livre originel auprès de Nous, certes élevé, empli de sagesse" (Coran 43/2-4).
"Dieu efface ce qu'Il veut et garde ce qu'Il veut ; et auprès de Lui se trouve le Livre originel" (Coran 13/39) ;

D’après un des commentaires relatés de Ibn Abbâs, ce verset signifie : "Dieu efface du texte coranique les versets qu'Il veut en en abrogeant (la récitation), et Il garde ce qu'Il veut en ne l'abrogeant pas ; et tout cela est écrit dans le Livre originel, auprès de Lui : y est écrit ce qui est abrogeant, ce qui est abrogé".

(Rapporté par Ibn Jarîr, Ibn ul-Mundhir, Ibn Abî Hâtim, al-Bayhaqî, cité dans Bayân ul-qur'ân, commentaire du verset 13/39 ; voir aussi Fath' ul-bârî 13/641).

Mais c'est un Coran glorieux, [écrit] dans une Tablette protégée" (Coran 85/21-22). Ce Livre originel aussi a été écrit à un moment donné, quand Dieu l'a voulu ; et il a été écrit au moyen de la plume servant à écrire la révélation (cf. Shar'h ul-'aqida at-tahâwiyya, pp. 345-346).
Nous Sunnites disons donc : Pour en revenir au Coran, nous sunnites disons donc : "La Parole de Dieu qu'est le Coran provient de Dieu, et vers Lui elle retournera" ("Minhu badâ wa ilayhi ya'ûd" : Shar'h ul-'aqîda at-tahâwiyya, p. 176, p. 195

Le Coran est aussi un livre : "Ceux qui récitent le Livre de Dieu…" (Coran 35/29) ;
"Et récite ce qui t'a été révélé, le Livre de ton Seigneur" (Coran 18/27).

En plus d'être la Parole de Dieu, le Coran est donc aussi le Livre de Dieu.

Il n’existe pas dans l’histoire de l’humanité, un Apôtre qui a eu à supporter autant d’accusations injustifiées et infondées. Comme si les forces du mal s’étaient déchaînées pour anéantir son Message, fondé sur l’Unicité de Dieu, le pardon et la Miséricorde divine.
Mais, n’est-ce pas là une marque de l’authenticité de son apostolat que toutes ces forces liguées contre lui n’aient pu l’arrêter, le faire reculer ou le détruire ?

Les milliards de Musulmans qui ont vécu sur terre, leurs savants, leurs penseurs, leurs guides, sont-ils à ce point dépourvus de raison et de facultés de jugement au point de suivre un possédé ou un halluciné et ruiner leur personne et leur foi en Un Dieu Unique et Tout-puissant ?

Le Coran demeure incontestablement le texte arabe le plus difficile à traduire. Oeuvre d’une extrême finesse et complexité, eIle recèle des propriétés lexicales morphosyntaxiques et même phonologiques qui ne sont nullement l’effet du hasard, et sans l’élucidation des quelles la compréhension demeurerait incomplète. Il se caractérise à la fois d’une simplicité des mots et d’une complexité du flux verbal. C’est ainsi que, par sa simplicité et sa clarté extrême, le vocabulaire coranique ménage chez tout lecteur du Coran un effet majeur qui, comme le constate très correctement J.Berque (p. 734),

C’est le cas, par exemple, de la particule de négation la et des conjonctions wa et fa.

L’on peut imaginer la perplexité du lecteur francophone devant les deux traductions suivantes du verset 16 de la Sourate 84
fa lâ ’uqsimu bi l-chafaq
Donc non je jure par le crépuscule du soir !
Montet traduit par
« je ne jurerai pas par le crépuscule »,

Tout en ajoutant dans une note explicative en bas de la page: « Il est inutile de jurer tant la chose est certaine ».

La traduction de la PGDRSI s’en tient au mot à mot, puisque lâ est traduit par « non »:
« Non!... Je jure par le crépuscule ».

Il va sans dire que les deux traductions fournissent des informations tout à fait contradictoires! Le cas échéant, ne serait-il pas plus prudent d’ignorer complètement l’existence de cette particule problématique, plutôt que de la traduire de façon erronée! Tel fut le choix de Noureddine Ben Mahmoud qui se contente de traduire le verset comme suit:

« Je jure par le crépuscule ».
Quant à Berque, il a traduit la particule par une interjection marquant l’exclamation:
« Oh! J’en jure par la rougeur du couchant ».
D’autres ont proposés la traduction suivante:
(Certes, j’en jure par le crépuscule)
Un examen attentif des diverses traductions françaises du Coran révèle à quel point de graves erreurs peuvent être commises par le traducteur s’il s’en tient uniquement aux dénotations des unités lexicales et néglige leurs connotations
C’est ainsi que le verbe daraba a été complètement pris hors contexte dans le verset suivant où il fait partie de l’expression idiomatique arabe
«daraba mathalan »
Wadrèbe lahum mathala lhaya:ti d-dunya: (S 18 45)
Lorsqu’il a été traduit par « frapper un exemple» (Hamidullah) plutôt que par « donner/citer/évoquer... un exemple ».
l va de soi que « frapper un exemple » est plutôt risible en français!

Il n’existe pas dans l’histoire de l’humanité, un Apôtre qui a eu à supporter autant d’accusations injustifiées et infondées. Comme si les forces du mal s’étaient déchaînées pour anéantir son Message, fondé sur l’Unicité de Dieu, le pardon et la Miséricorde divine.

Le Prophète était un homme exemplaire, tous ses actes et ses comportements représentaient l’excellence de la vertu. Il était le modèle à suivre qui doit inspirer la vie et le comportement de tous les Musulmans qui doivent trouver facilité et sérénité à l’imiter.

Mais, n’est-ce pas là une marque de l’authenticité de son ministère que toutes ces forces coalisées contre lui n’aient pu l’arrêter, le faire reculer ou le détruire ?

Les milliards de Musulmans qui ont vécu sur terre, leurs savants, leurs penseurs, leurs guides, sont-ils à ce point dépourvus de raison et de facultés de jugement au point de suivre un possédé ou un halluciné et ruiner leur personne et leur foi en Un Dieu Unique et Tout-puissant ?

On aurait pu penser que la science et la technique ne se prêtent pas aux manipulations des apprentis sorciers. Cela est tout à fait vrai dans l’ensemble. Cependant, quelques-uns d’entre eux se laissent tenter par l’imprévu et ne manquent pas d’égratigner au passage un domaine qui aurait dû rester en dehors de leur champ d’action. Un exemple de cette intrusion déplacée est donné par ce faux prophète
L’auteur affirme le plus sérieusement du monde que selon le Coran, c’est le Prophète Mohammed qui demande de l'argent.

Comme on pourra le vérifier, le Coran n’a jamais reconnu au Prophète le rôle d’un salarie de prêches. Il en a fait de tous temps, un homme normal, vivant parmi les gens et l’emportant sur eux par la noblesse des sentiments et la pureté de sa foi.

On ne peut reprocher à l’auteur d’ignorer les fondements de l’Islam et la portée du Coran. Mais son ignorance aurait dû l’inciter, sinon au silence, du moins à plus de réserve. La facilité avec laquelle il déverse son acrimonie n’est en réalité que le reflet des sentiments hostiles de l’athéisme à l’endroit de la religion musulmane. La calomnie est un des moyens couramment utilisés afin de dévaloriser le Coran.
Ce faux prophète croit-il disposer du pouvoir de discernement nécessaire qui ferait défaut à cette imposante communauté jusqu’à orienter son choix et s’ériger en censeur de la religion islamique ?

En considérant son attitude, on ne peut éviter de la rapprocher d’une certaine pratique des Juifs. Le jour de la fête des Expiations, ceux-ci prenaient un bouc, l’invectivaient, l’insultaient, le chargeaient de tous les péchés de la communauté et l’envoyaient dans le désert afin d’expier les iniquités des Israélites. C’était le bouc émissaire. Les Occidentaux ont-ils cru trouver en Mohammed un autre bouc émissaire ?

Avant de parler des motifs qui ont poussé l’auteur à évoquer le Coran, il serait intéressant de mesurer la crédibilité de son jugement. On s’aperçoit d’emblée que sa traduction est déplorable Quant aux véritable sens des versets, si mal interprété en voici :

Dis : « De cela, je ne vous demande pas de salaire ; et je ne suis pas de ceux qui cherchent à s'imposer. » (S. 38, 86) Traduction erronée
Dis: Je ne sollicite aucune rétribution et Je n’ai rien d’un beau parleur. (86) Le Coran est une leçon pour l’univers. (87) Vous ne tarderez pas à vous en rendre compte (88).

Tafsir :
Dieu ordonne à Son Messager de dire aux impies: Je ne vous demande aucune rétribution contre ce message ni pour les conseils que je vous prodigue, surtout des biens de ce monde, et je ne suis pas de ceux qui s’imposent en y ajoutant quelque chose de 'moi-même, ni d’en diminuer, mais je n’y cherche que la satisfaction de mon Seigneur.

Est ce ceci est une demande de salaire ?
« Ô mon peuple, suivez les messagers : suivez ceux qui ne vous demandent pas de salaire. » (S. 36, 21 Traduction erronée

Croyez à des gens qui ne vous demandent aucune rétribution et suivent la bonne voie (36, 21)

Si vous tournez le dos alors que je ne vous demande pas de salaire... mon salaire n’incombe qu'à Dieu. » (S. 10, 72). Traduction erronée

Si vous me désavouez, je ne vous en demanderai pas compte. Mon compte, c’est Allah qui me le réglera. J ’ai reçu l’ordre d’être parmi les soumis (S. 10, 72).

Dieu ordonne à Muhammad de raconter aux idolâtres de La Mecque l’histoire de Noé, ceux qui te traitent d’imposteur et te contredisent. Rappelle-leur le sort de son peuple qui l’avait traité de la même façon, comment Dieu les a fait péri en les noyant.

« Mais ce que vous donnez à titre d'impôt, tout en cherchant le visage de Dieu... les voilà, alors, ceux pour qui cela double » (S. 30, 39 ). Traduction erronée
Il y en a qui prêtent à usure dans l’espoir de s’enrichir aux dépens d’autrui. Allah déjoue leurs desseins. En revanche ceux qui font l’aumône en vue d’Allah, ceux-là voient leurs biens doublés (S. 30 39)

Tafsir :
Dieu ordonne de faire aumône à ces trois: Les proches parents qui jouirent du lien du sang, aux pauvres démunis de toute source qui pourrait pourvoir à leurs besoins et au voyageur qui se trouve dans besoin de retourner chez lui alors qu’il a dépensé tout ce qu’il portai avec lui. Cette recommandation n’a pour but que de plaire à Dieu et rechercher Sa satisfaction. Ceux qui font de telle aumône seront les heureux dans les deux mondes

Ne méditeront-ils donc pas le Coran ? S’il avait été d’un autre que Dieu, ils y auraient trouvé maintes contradictions. » (S. 4, 82). Traduction erronée
N’ont-ils jamais médité sur le Coran? Si ce Livre venait d’un autre que d’Allah, ils y auraient relevé des nombreuses contradictions. (S. 4, 82).

Tafsir :
Pourquoi ces gens-là ne méditent-ils pas sur le Coran au lieu de s’en détourner, et qu’ils comprennent le sens de ses versets, ses sentence et ses paroles disertes. Sûrement ils n’y trouveront ni contradiction ni perturbation ni divergence, car il est une révélation d’u Seigneur sage et digne de Louanges. Telle est l’altitude des polythéistes et des hypocrites à l’égard du Coran

«Redoutez-vous de faire précéder d'aumônes votre tête-à-tête ? Mais quand vous ne l'avez pas fait et que Dieu a accueilli votre repentir, alors établissez l'Office et acquittez l'impôt, et obéissez à Dieu et à Son messager. » (S. 58, 13). Traduction erroné

Vous pèserait-il de faire quelque aumône avant de vous entretenir avec le Prophète? Si vous vous en dispensez qu’Allah vous pardonne, observez du moins la prière et payez la dîme. Obéissez à Allah et à Son Prophète. Allah connaît toutes vos actions (S. 58 13).

Tafsir :
Dieu ordonne à Ses serviteurs de faire une aumône à la Mosquée lieu de la rencontre, ceux qui veulent avoir un entretien privé avec le Messager de Dieu. Mais au cas où ils ne trouvent pas les moyens, à cause de pauvreté, Dieu pardonne à ceux-là car ll ne l’a imposée qu’à celui qui en est capable

«Les musulmans accablaient le Messager de Dieu vec leurs questions au point de lui causer de la peine. Dieu voulut alléger cet excès de questions en imposant l’aumône, après quoi les musulmans ne posaient que la question qui était digne d'être posée. Dieu leur dit alors: «Vous pèserait-il de faire quelque aumône avant de vous entretenir avec le Prophète?». Si vous en êtes incapable et renoncez à faire cette aumône: «Observez du moins la prière et payez la dune» la Zakat, ainsi Dieu leur a facilité leur tâche sans les contraindre Dieu est celui qui pardonne et II est toute miséricorde envers Ses sujets. Ainsi cette obligation fut abrogée. On a rapporté à cet égard que seul 'Ali Ben Abi Taleb qui s’est conformé à cette obligation avant son abrogation

Verbe (formulaire I) -récompense ajrin
2:62:16) ajruhum leur récompense وَعَمِلَ صَالِحًا فَلَهُمْ أَجْرُهُمْ عِنْدَ رَبِّهِمْ وَلَا خَوْفٌ عَلَيْهِم
(2:112:9) ajruh (est) sa récompens بَلَىٰ مَنْ أَسْلَمَ وَجْهَهُ لِلَّهِ وَهُوَ مُحْسِنٌ فَلَهُ أَجْرُهُ عِنْدَ رَبِّه
(2:262:16) ajruhum leur récompense ثُمَّ لَا يُتْبِعُونَ مَا أَنْفَقُوا مَنًّا وَلَا أَذًى لَهُمْ أَجْرُهُمْ عِنْدَ رَبِّهِم
(2:274:9) ajruhum (est) leur récompense سِرًّا وَعَلَانِيَةً فَلَهُمْ أَجْرُهُمْ عِنْدَ رَبِّهِم

Dans le quotidien des musulmans, pour un bonne parole, un service rendu, une bonne action morale ou matérielle, on dît ; WA AJROUKOUM ALA Allah

Ceux qui tuent le corps ne sont pas les plus dangereux».
Ceux qui cherchent à pervertir un peuple avec leur plume et leur crayon, voilà les vrais criminels.

La différence entre une personne qui dit la vérité et l'autre qui raconte des mensonge est que le menteur a grandement besoin d'une meilleur mémoire." avec la carcasse d’Irréligieux d’extérieur mais ultra Religieux à l’intérieur. Les pires excès sont alors commis.

Je serai tenté d’utiliser un aphorisme pareil
Et si la Bible n’est qu’une mauvaise et ridicule transcription.
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